Mini-jupes
13-09 la crise
Pour conjurer la crise, sortez vos minijupes
On appelle ça très sérieusement la « hemline theory » (la théorie de l'ourlet). Elaborée par un obscur économiste américain dans les années 20, elle prétend que la prospérité se mesure à la longueur des jupes.
Là, vous vous dites que le type enfonce des portes ouvertes et qu'une jupe longue, puisqu'il y a plus de tissu, montre évidemment que les élégantes ont un super pouvoir d'achat. Vous n'y êtes pas du tout.
Selon George Taylor, la Bourse et la jupe sont intiment liées parce que quand l'une grimpe, l'autre rétrécit. Démonstration :
- les années 20 : la jupe se porte au genou ce qui, à l'époque, signifie court. Wall Street se porte bien.
- les années 30 : après le crash de 1929, les jambes disparaissent sous les robes longues.
Jusque là, historiquement, cette théorie tient la route. Sauf… que les années 40 vont ruiner le beau raisonnement. Pendant la guerre, pour des raisons pratiques, les jupes sont courtes.
Il faut attendre les années 60 pour (re)donner raison à la « hemline theory ». Cette décennie marque les débuts de la consommation de masse, le boom du prêt-à-porter et la naissance de la minijupe attribuée à la créatrice anglaise Mary Quant.
La décennie suivante signe la dégringolade de l'économie et du tissu : les hippies portent la robe longue. Un bon point pour le visionnaire américain.
Montrer ses jambes pour soutenir l'économie
Les trente dernières années sont plus difficiles à décoder. Au gré des collections, les jambes se couvrent et se découvrent sans donner particulièrement raison à George Taylor. Qu'importe. Cette théorie a séduit les publicitaires de la marque de rasoirs Quattro. Au Canada, Shick Quattro for Women clame que les femmes doivent choisir des jupes plus courtes pour soutenir l'économie (et donc, se raser).
Une timeline illustrant ces liens fragiles entre jupes et indices boursiers a été mise en ligne par la marque.
interrogée par le Telegraph, Harold Koda, du Metropolitan Museum de New-York, a expliqué que si la théorie de l'ourlet ne s'applique pas à tous les coups, elle montre toutefois que les grands créateurs savent prendre le pouls de la société :
« Quand on est psychologiquement abattu, empiété par le pessimisme, on a une tendance à se couvrir ce qui signifie porter de longues manches, des décolletés moins plongeants, de longues jupes et des collants opaques. »
Que disent alors les dernières tendances sur la crise ? Les économistes qui n'ont rien vu venir n'avaient visiblement pas assisté aux défilés printemps-été 2008 où ont fleuri les robes interminables façon 70's. Les magasins de prêt-à-porter regorgent de ces modèles cette année.
Et que ceux qui craignent un prolongement de la récession se rassurent. La collection Paul & Joe pour l'hiver 2009 annonce bien mieux que la prospérité.
12-09 Lucy Liu
Lucy Liu est née le 2 décembre 1967 dans le Queens, New York. (Etats-Unis).
Avant de devenir une célèbre actrice, Lucy a étudié les cultures et langues orientales à l'Université de Michigan.
Diplôme en poche, elle peut se consacrer à ses passions : la danse, le chant et le théâtre. Elle décroche même le rôle principal d'une pièce produite par son université, « Alice au Pays des merveilles ».
Cette expérience la pousse à devenir comédienne. Elle s’envole ainsi vers la «cité des anges» pour tenter sa chance.
Elle fait ses premiers pas dans le film «Jerry Maguire» (1996) dans lequel elle endosse le rôle de l'ex-petite amie de Tom Cruise.
Elle fait ensuite des apparitions remarquées dans de nombreuses séries à succès comme Beverly Hills, Urgences ou encore X-Files.
Mais c’est en 1998 qu’elle accède enfin à la célébrité. Cette année-là elle rejoint le casting de la cultissime série « Ally Mc Beal ». Elle endosse le rôle de Ling Woo, une avocate autoritaire. Toujours la même année, elle obtient son premier rôle d'importance dans le film noir "Payback", avec Mel Gibson, où elle incarne une tueuse adepte des amours sado-masochistes.
En 2000 et 2003, elle devient Alex Munday, un des anges de « Charlie et ses drôles de dames ». Le film fait un carton au box-office.
Lucy s'adapte à tous les registres. Tu as pu l'apprécier dans des films d’action (« Ballistic : Ecks vs. Sever » en 2002, « Charlie's angels 2 - les anges se déchaînent » sorti en 2003, « Domino » en 2005), des comédies musicales (« Chicago » en 2002) ou encore dans un film d’anticipation (« Cypher ») dans lequel elle joue une mystérieuse et sensible espionne.
En 2003, le génialissime Quentin Tarantino fait appel à elle pour le rôle d'une tueuse professionnelle dans « Kill Bill » sorti en 2003.
Lire les commentaires textes
mini et bottes , c'est toujours efficace ,on ne peut rester de marbre, j'ai qu'une envi sentir les semelles sur mon sexe;
De trè sbelle jambes, j'adore surtout les collants noir avec la mini jupe. Et les talons qui leurs vont a merveils ici
C'est le grand prix de quoi ? Des plus longues jambes (1) ? De la tenue la plus moulante (2,3,4...) D de la jupe la plus courte (5) ? Des tenues glamour (8,9) ? ...
Le choix est dense et les prétendantes nombreuses.
Merci pour cette sélection.
Mes préferées: Les 4 ferrari et la robe blanche au téléphone aves ses bottes de cow-girl.
Au grand prix de Belgique, elles sont moins nombreuses !
et lecher leur serai magnifiques
c filles au grd prix sont trop trop belles
c clair au grand prix ls filles sont magnifiques
je voudrais bien sentir et laisser leur talonss
D'accord avec ODYSSEE29!!
alors la la formule 1 vu comma ça, j'adore
jolis chassis, je voudrais bien voir les moteurs lol
belle équipe FERRARI et les files en combi short blancs sont sueprbes
merci et bravo